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ANALYSE : les enjeux de la visite de Zlensky au Danemark

ukraine et danemark

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et la Première ministre Mette Frederiksen (S) se sont saluant en octobre 2024 en Islande. Photo de Halldor Kolbeins/Ritzau Scanpix

 

L’analyse de la visite de ce jour du président ukrainien Volodymyr Zelensky au Danemark, en présence des dirigeants des pays nordiques et baltes, révèle plusieurs objectifs stratégiques.

La visite semble s’inscrire dans une démarche à plusieurs niveaux :

La consolidation du soutien militaire européen

La raison principale de cette réunion est de consolider et de renforcer le soutien militaire des alliés européens. Les pays nordiques et baltes sont parmi les plus fervents défenseurs de l’Ukraine, et leur proximité géographique avec la Russie les rend particulièrement engagés dans ce conflit. L’objectif de Zelensky est d’obtenir de nouvelles promesses de livraisons d’armes et d’équipement, et de s’assurer que l’aide européenne reste stable et durable.

Le renforcement de l’axe stratégique européen

Face aux incertitudes qui pèsent sur l’avenir du soutien américain, la visite de Zelensky est une manœuvre pour resserrer les liens avec les alliés européens les plus solides. En se rapprochant des pays nordiques et baltes, l’Ukraine cherche à construire un axe de soutien européen robuste et indépendant des fluctuations politiques des autres puissances. Il est probable que les discussions portent sur la possibilité d’augmenter la production européenne de munitions et d’équipements de défense pour ne plus dépendre autant des importations.

 La dimension diplomatique

Le Danemark a pris la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne en juillet 2025. La visite de Zelensky à cette occasion en juillet et sa présence ce jour montrent qu’il cherche à maintenir l’Ukraine au centre des priorités européennes. En participant à ces réunions, il s’assure que son pays ne sera pas oublié, et que son adhésion à l’UE, ainsi que le soutien financier et militaire, resteront des sujets majeurs à l’agenda politique de l’Europe.

 

Le président Volodymyr Zelensky a déclaré aux journalistes ce 3 septembre qu’il prévoyait de s’entretenir « prochainement » avec le président américain Donald Trump au sujet du renforcement des sanctions contre la Russie.

Depuis le début du second mandat de Trump, les États-Unis se sont abstenus d’imposer des sanctions contre la Russie ou ses alliés dans le cadre de la guerre en Ukraine. Alors que Trump avait précédemment menacé d’imposer des droits de douane « sévères » aux pays achetant du pétrole russe, Washington n’a jusqu’à présent appliqué que des droits de douane de 25 % à l’Inde.

Lors de la conférence de presse conjointe avec la Première ministre danoise Mette Frederiksen, Zelensky a exprimé l’espoir que le durcissement des sanctions forcerait le président russe Vladimir Poutine à privilégier la voie diplomatique, notamment la possibilité de discussions entre dirigeants, que le Kremlin a évitées à plusieurs reprises.

Le président ukrainien a déclaré que Trump avait promis de répondre « dans quelques semaines » et qu’il comptait s’entretenir avec lui « aujourd’hui ou dans les prochains jours » pour clarifier la position américaine.

Zelensky a également rejeté l’idée de concessions territoriales à la Russie, la qualifiant de « déraisonnable », avertissant qu’on ne pouvait pas faire confiance à Poutine pour signer un quelconque accord.

« Si quelqu’un soutient cette idée folle, qui peut garantir que Poutine ne poursuivra pas (la guerre) ? Personne ne peut donner de garanties », a déclaré Zelensky.

Il a souligné que même après des années de combats, les forces russes n’ont pas réussi à prendre le contrôle total de l’oblast de Donetsk, une région déchirée par la guerre depuis 2014.

« Donetsk est devenue un élément très puissant de notre ligne de défense », a déclaré Zelensky, affirmant que la Russie avait perdu plus de 100 000 soldats dans la région.

« En quatre ans, (Poutine) n’a pas réussi à occuper ne serait-ce que 30 % d’une région », a-t-il ajouté. « S’il va plus loin, cela lui prendra des années – et non seulement du temps, mais aussi des millions de soldats. »

Poutine a publiquement exigé que l’Ukraine renonce à son adhésion à l’OTAN et retire ses troupes de la région orientale du Donbass – composée de l’oblast de Donetsk partiellement occupé et de l’oblast de Louhansk presque entièrement occupé – comme condition à un accord de paix. À cette condition, plusieurs grandes villes sous contrôle ukrainien devraient être rétrocédées à la Russie.

 

Zelensky a rejeté à plusieurs reprises toute reconnaissance formelle de l’occupation russe ou toute cession de territoire supplémentaire et a appelé à un cessez-le-feu complet comme condition préalable aux pourparlers de paix.

Les forces russes ont progressé dans l’oblast de Donetsk au cours de l’été, concentrant leurs efforts autour des villes de Pokrovsk et Kostiantynivka. Pourtant, la Russie n’a pas réussi à consolider ses positions ni à réaliser de gains territoriaux significatifs.

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